Rentrée scolaire 2023
Les filles et les jeunes de diverses identités de genre luttent pour assurer leur bien-être physique et affectif, leur sentiment de connexion et d’appartenance, leur confiance et leur optimisme en leur avenir ainsi que pour établir des relations saines.
Il existe une crise de santé mentale grandissante chez les jeunes, mais les ressources qui leur sont destinées se font de plus en plus rares en raison de la forte demande et du manque de financement.
Les programmes communautaires financés par la Fondation canadienne des femmes offrent le milieu positif et sécuritaire dont iels ont besoin en ce moment. Avec votre don, vous contribuez à garantir l’avenir de ces programmes et à soutenir toutes les personnes qui en ont besoin.
Triplez votre impact
H&M triplera les dons effectués jusqu’au 30 septembre, à une concurrence de 10 000 dollars !
Votre don servira directement à financer des programmes qui visent à :
- renforcer la santé mentale, le bien-être affectif et la confiance ;
- enseigner les relations saines et le consentement aux jeunes ;
- procurer un sentiment d’appartenance culturelle et de connexion avec leur communauté ;
- offrir du mentorat ;
- encourager l’exploration et l’intérêt dans des domaines tels que les arts, les STIM, le sport, l’activité physique et le leadership communautaire ;
- fournir des espaces positifs et inclusifs où les filles et les jeunes de diverses identités de genre peuvent s’épanouir.
Connaissez-vous des filles ou des jeunes de diverses identités de genre qui ont besoin de soutien?
Les ressources suivantes pourraient les aider.
Visitez 211.ca/fr/ pour trouver d’autres ressources dans votre communauté. Vouz pouvez également consulter le site web de votre municipalité ou celui de votre centre communautaire.
Association canadienne pour la santé mentale
We Matter : Trousse d’aide pour les jeunes Autochtones
Si un jeune que vous connaissez est en crise ou parle de suicide :
Jeunesse, J’écoute : 1 800 668-6868
Ligne d’écoute d’espoir pour le mieux être des Premières Nations et des Inuits : 1 855 242-3310
Si vous pensez que la vie d’une personne est en danger immédiat, appelez le 911 ou allez au service d’urgence.
« Je sens que je n’ai pas besoin de cacher qui je suis. »
« La meilleure partie de ma journée, c’est le temps passé ici. »
« Je peux vraiment être moi-même ici. Je passe une meilleure journée quand je participe au programme. »
« J’aimerais remercier tous ceux grâce à qui ce programme existe. Il est parfois difficile de trouver une communauté PANDC non binaire et de cultiver notre amour propre, mais ce programme a rendu les deux possibles et j’en suis infiniment reconnaissante. »
« C’est un endroit amusant et sûr où l’on peut se confier si l’on a besoin de quelqu’un avecà qui parler. »
« Si je pouvais, je participerais de nouveau au programme. Je me sens reconnu et en sécurité. La ville offre peu d’espaces gérés par nous et pour nous. »
« Je ne me sens pas jugée et je n’ai pas honte de mon identité et de mes opinions… Je n’ai pas peur et je me sens en sécurité dans cette communauté. »
« On était entouré·e·s d’une communauté de personnes qui partageaient et comprenaient notre lutte, mais qui l’avaient vécuee différemment… On y avait beaucoup d’occasions pour écouter et pour être entendue. »
« Je me sens parfois seule, toute seule, mais au programme pour les filles, je me sens heureuse et soutenue. »
« Je peux simplement parler de ma journée, et les personnes qui m’entourent comprennent sans me juger. Je peux être moi-même et partager mon opinion sur n’importe quoi. »
Entre 20 % et 25 % des jeunes ont au moins un trouble de santé mentale (Source: https://edu.ymhc.ngo/)
Seulement 1 jeune sur 5 reçoit un traitement pour leur trouble de santé mentale (Source: https://edu.ymhc.ngo/)
Les enfants et les jeunes qui sont nouvellement immigrant·e·s ou réfugié·e·s, qui sont racialisé·e·s ou qui vivent dans une communauté rurale ou éloignée sont encore moins susceptibles de recevoir les soins adéquats pour leur santé mentale. (Source: https://www.ourcommons.ca/Content/Committee/441/HESA/Brief/BR11751193/br-external/CanadianPaediatricSociety-10609600-f.pdf)
Les deux tiers des parents sondés en 2021 ont rapporté que la santé mentale de leur enfant s’était détériorée et 48 % ont affirmé que leur enfant présentait de nouveaux défis avec leur santé mentale depuis 2020 (Source: https://www.unicef.ca/sites/default/files/2022-10/FR_UNICEF_Policy-Book_2021.pdf)
Les élèves ayant des troubles de santé mentale ou les élèves qui vivent avec un handicap sont souvent victimes d’intimidation (Source : https://edu.ymhc.ngo/)
Au cours de l’année précédente, les jeunes de diverses sexualités et identités de genre étaient plus susceptibles à l’intimidation (77 %) et donc, par le fait même, plus susceptibles de déclarer avoir une mauvaise santé mentale (33 %) (Source: https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/11-627-m/11-627-m2022065-fra.htm)
L’attente pour des traitements de santé mentale est d’un an ou plus (Source: https://edu.ymhc.ngo/)
Votre Impact
Découvrez quelques-uns des programmes incroyables pour les filles et les jeunes de diverses identités de genre que vous soutenez partout au Canada.